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Jacqueline Vauzeilles Laboratoire d'Informatique de l'Université Paris Nord Institut Galilée Avenue J.B. Clément 93430 VILLETANEUSE FRANCE Tel : +33 1 49 40 36 08 Fax : +33 1 48 26 07 12 E-mail :jacqueline.vauzeilles@lipn.univ-paris13.fr |
au
niveau international
Experte pour pour le Ministère des Universités et
de la Recherche Italien (MIUR), pour
l’évaluation de projets
d’intérêt national et experte pour
l’évaluation nationale de la recherche (VTR)
organisée par le comité italien pour
l’évaluation de la recherche (CIVR). Rapporteur de
trois thèses et de deux postdoctorats en Italie.
Responsable pour le site Paris 13 du réseau franco-italien
en Logique et Géométrie de la computation
(2006-2009).
Responsable du sous-site Paris 13 du site de Paris du TMR "Linear Logic
in Computer Science" (1998-2003).
Partenaire dans un projet ESPRIT de la Communauté
Européenne (Working Group - Basic Research) "Logic and
Change" (LAC) (1992-1996).
au
niveau national
Déléguée Scientifique à l'AERES (Agence
pour l'évaluation de la recherche et de l'enseignement
supérieur) à partir du 1er septembre 2009, section 2
(section des unités de recherche) et section 3 (section des
formations et des diplômes). Coordinatrice
scientifique du processus master de l'AERES.
Directrice-Adjointe Scientifique de
l'USAR (Unité Support de L'Agence
Nationale pour la Recherche (ANR)
pour les programmes
non-thématiques, de juin 2007 à août
2009.
Membre du comité de sélection pour
deux postes à l'université d'Artois (mai 2009).
Présidente du jury des PEDR (27ème
section) en 2008.
Experte pour l'AERES : membre du comité de
visite du CRIL (2008), membre des comités de visite de
l'AERES des Ecoles Doctorales de Caen et de Rouen (2007), expertise de
masters (2007, 2008).
Chargée de Mission à la MSTP
(et responsable des masters pour la DSPT 9) de novembre 2006
à
juillet 2007.
Membre du Conseil
National des Universités
(CNU) (nommée : 1999 - 2003, élue : 2003 -
2007).
Experte auprès de la Mission Scientifique
Technique et Pédagogique du ministère de
l'éducation nationale (dossiers de master, ACI Nouvelles
Interfaces des Mathématiques, PAI, Ecoles Doctorales).
Experte auprès de l'ANR (2005, 2006,
2007)
Membre extérieure du jury
d'admissibilité du recrutement CR2 de l'INRIA Lorraine (mai
2003 et mai 2005).
Directrice du LIPN (Laboratoire
d'Informatique de l'Université Paris-Nord) (de novembre 1997
à janvier 2004).
Création et responsabilité de
l'équipe LCR (Logique, Calcul et Raisonnement du LIPN
(1989-2002).
Membre extérieure des Commissions de
Spécialistes de Caen (1992-1997) (27ème section),
et de ParisX-Nanterre (1992-1995) (25-26-27èmes
sections).
à
l'Université Paris 13
Chargée de mission auprès du président de l'Université Paris 13 pour la coordination des réponses de
l'Université aux appels d'offres du Grand Emprunt,
et pour la concertation avec les partenaires de
l'Université (PRES Sorbonne Paris Cité, Campus Condorcet,
pôles de compétitivité, collectivités
locales, etc.) depuis avril 2010.
Membre du comité
d'experts
(27ème section) de l'Université Paris 13, depuis
avril 2009 et présidente (membre) de comités de sélection pour plusieurs postes en 2009, 2010, 2011.
Membre de la Commission
de
Spécialistes (27ème section) de
l'Université Paris 13 (1989 - 2004 )
Vice-Présidente du Conseil
Scientifique de l'Université Paris 13
(septembre 1999 - décembre 2002)
Membre élue du Conseil
Scientifique de l'Université Paris 13 (de
mars 1998 à mars 2008) et membre de la sous-commission
chargée des équivalences (1998 - 2002).
Membre du Bureau
de
l'Université Paris 13 (septembre 1999 -
décembre
2002 et de juin 2006 à mars 2008).
Membre Invité Permanent du Conseil d'Administration de
l'Université Paris 13 (septembre 1999 - décembre
2002).
Membre du Bureau
de l'Ecole Doctorale
de mars 2005 à mars 2008. Membre du Conseil de l'Ecole
Doctorale Galilée (de novembre 1997 à mars 2008).
Membre nommé de la Cellule
des Relations
Internationales, de
la Commission des Moyens
de l'université, de la Commission
Paritaire d'Etablissement, du Conseil du Service Commun des
Bibliothèques et de la Documentation (1999 -
2002).
Représentante de l'Université Paris 13 dans le
comité d'évaluation du CNRS du Laboratoire de
Physique des Lasers (2000), dans le comité scientifique du
Laboratoire "Ciblage fonctionnel des tumeurs solides ”
(2000), dans le comité d'évaluation du CNRS du
Laboratoire de Biomatériaux et
Polymères de Spécialité (2004).
Membre du comité
de pilotage du CIES Jussieu,
comme
représentante de l'université Paris 13
(1999-2002)
Membre élue du CEVU
de
l'Université
Paris 13 et
membre de la sous-commission chargée des habilitations
(janvier 1994 - décembre 1998).
Directrice-Adjointe, responsable de la recherche de l'Institut Galilée et à ce titre invitée permanente au Conseil d'Institut, membre de la Commission des Moyens, membre de la commission du personnel, de mars 2004 à mars 2008.
Membre du Conseil Scientifique de l'Institut Galilée (de novembre 1997 à mars 2008).
Membre du Conseil
du LIPN depuis son association au CNRS
(1992-2007).
Présidente
du département
d'Informatique de l'Institut Galilée
(à ce titre, invitée permanente au Conseil
d'Institut et membre de la Commission des Moyens) (novembre 91 -
février 94).
Membre de la Commission
du Personnel de l'Institut Galilée
(1992-1994)
Directrice-Adjointe, responsable du second cycle
de l'Institut Galilée et
à ce titre invitée permanente au Conseil
d'Institut, membre de la Commission des Moyens, membre de la commission
du personnel, de juin 1994 à décembre 1996.
Responsable
de la licence
d'Informatique (septembre 1991- novembre 1998), et
à ce
titre, responsable de la demande d'habilitation de cette licence en
1995.
Membre élue du Conseil d'Institut
de l'IUT de Villetaneuse (1990-91).
Applications
de la logique linéaire
La logique linéaire introduite par Jean-Yves
Girard en 1985,
est
un raffinement à la fois des logiques classique et
intuitionniste, qui a permis en particulier de donner un statut logique
aux opérations de duplication et d’effacement
d’hypothèses. Depuis son
introduction, la logique linéaire a eu un rôle
sans
cesse croissant dans l’étude et la
compréhension de
divers problèmes d’informatique. Nous nous sommes
particulièrement intéressés aux
preuves et
réseaux de preuves de la logique linéaire et
à
diverses applications en programmation logique, planification,
linguistique, etc.
Planification et
logique linéaire :
Nous avons utilisé le fragment multiplicatif de la logique
linéaire pour formaliser de manière
complète et
correcte une suite d’actions : dans cette logique,
l’affaiblissement et la contraction sont des
opérations
dont l’usage est contrôlable, ce qui
permet de gérer très exactement les ressources.
Une suite
d’actions est représentée par une
preuve dans
une théorie de la logique linéaire dont les
axiomes sont
des séquents de Horn utilisant les connecteurs ⊗
et
⊕ dans le cas d’actions non
déterministes, et
seulement le connecteur ⊗ dans le cas d’actions
déterministes [21,10]. Deux prolongements de ces travaux ont
ensuite été étudiés :
∗ Nous avons étudié le
problème de la
complexité de la recherche de preuve dans de telles
théories : il est connu que la logique propositionnelle
linéaire de Horn est indécidable dans le cas
général (cas des connecteurs ⊗ et
⊕) et a la
complexité du
problème d’accessibilité dans les
réseaux de
Petri (cas du connecteur ⊗). Pour restreindre la
complexité, nous avons utilisé (dans des travaux
en
collaboration avec Max Kanovich, université de Moscou) des
axiomes tels que le nombre de prédicats apparaissant dans la
partie gauche est supérieur ou égal à
celui
apparaissant dans la partie droite. Cette condition,
réalisée dans la formalisation des
problèmes de
planification usuels, permet de ramener la complexité
à
EXPTIME (temps exponentiel) dans le cas d’actions non
déterministes, et à PSPACE (espace polynomial)
dans le
cas d’actions déterministes [3].
∗ Nous nous sommes ensuite intéressés
aux
problèmes de planification comprenant un nombre non
borné
d’objets fonctionnels identiques. Nous avons
montré qu’en utilisant la logique
linéaire, on peut
diminuer de manière drastique la complexité : on
se
ramène à une complexité polynomiale,
si le
problème initial comporte des symétries (objets
identiques). On évite l’explosion combinatoire
causée par ces symétries en introduisant un objet
générique au lieu de noms spécifiques
pour chacun
des objets réels. On contracte ainsi l’espace de
recherche
exponentiel sur les objets réels en un espace de recherche
polynomial sur un objet générique. Puis on
transforme (en
temps polynomial) la preuve générique en une
preuve
réelle du problème initial [16, 2].
∗ Nous avons ensuite étendu nos
résultats à la planification temporelle
[1].
Réseaux
taxonomiques et logique
linéaire :
Un réseau taxonomique est un graphe orienté
permettant de
représenter la connaissance. Les noeuds
représentent des
concepts ou des propriétés
d’un ensemble d’individus, alors que les arcs
représentent des relations entre concepts. Le
réseau peut
être vu comme une hiérarchie de concepts
ordonnés
suivant leur niveau de généralité. De
nombreux
chercheurs en Intelligence Artificielle ont essayé de
formaliser
ces réseaux, et les logiques non-monotones
ont été développées pour
représenter
ces réseaux.
Partant de la remarque que bien que la logique linéaire soit
une
logique monotone, l’implication linéaire a un "comportement non monotone" relativement à la
conjonction
linéaire multiplicative (connecteur ⊗), nous
avons
cherché à formaliser les réseaux
taxonomiques dans
le fragment linéaire comprenant la constante 1, le
connecteur
⊗, l’implication linéaire ainsi que le
connecteur "bien sûr".
Nous avons d’abord considéré des
réseaux
avec seulement des arcs défauts et des arcs exceptions ;
nous
identifions une classe particulière de séquents
de ce
fragment, les séquents simples et la
démonstration de
tels séquents nous permet de caractériser les
propriétés héritées par un
individu
particulier. Nous remplaçons ensuite une preuve
d’un tel
séquent par
un réseau linéaire, correspondant exactement
à un
sous-graphe "maximal correct" du réseau
sémantique initial. Enfin nous montrons un
résultat
d’équivalence avec l’approche plus
traditionnelle
utilisant la logique des défauts [19].
Nous avons ensuite étendu nos résultats au cas
des
réseaux avec liens stricts ou avec contre-exceptions [8].
Par la suite, nous avons utilisé les
propriétés
des connecteurs linéaires pour nous débarasser
des
contraintes que nous avions imposées quant à la
forme des
séquents prouvés, de manière
à obtenir un
système déductif (en logique
linéaire). Afin de
pouvoir combiner raisonnement classique et raisonnement avec exceptions
(réseau taxonomique) nous avons
plongé le système précédent
dans LU (la
Logique Unifiée) [7].
Logique
linéaire et linguistique :
Nous avons présenté une formalisation logique des
Tree-Adjoining Grammar (TAG). Dans TAG, on considère des
arbres
lexicalisés et deux
opérations sont autorisées : la substitution et
l’adjonction. L’adjonction consiste en
l’insertion
d’un arbre
à l’intérieur d’un autre,
l’opération étant effectuée
en un nœud
où l’adjonction est autorisée. Nous
avons
montré qu’on pouvait représenter ces
opérations à l’aide d’un
fragment de la
logique de Lambek (c’est-à-dire du fragment
multiplicatif
non commutatif de la logique non-commutative intuitionniste). La
modélisation des TAG se fait en représentant les
arbres
initiaux et auxiliaires par des séquents ; la substitution
est
traduite par la coupure, et une règle d’adjonction
est
définie sur les
séquents afin de formaliser l’adjonction sur les
arbres. A
une grammaire dans TAG est associée un ensemble de
séquents et la clˆoture sous les
opérations
précédentes de cet ensemble permet de
définir le
langage engendré : on montre que ce langage est exactement
celui
obtenu à l’aide des TAG [18, 23].
Programmation
logique en logique non commutative :
La logique non commutative (NL) a été introduite
en 1997
par Paul Ruet et Michele Abrusci ; c’est une extension
à
la fois de la logique linéaire commutative et de la logique
linéaire cyclique de Girard et Yetter (qui est
elle-même
une extension conservatrice classique du calcul de Lambek, introduit en
1958). Initialement, Paul Ruet a défini cette logique pour
la
programmation concurrente par contraintes, mais les applications
potentielles en sont nombreuses. La programmation en logique
linéaire (commutative), introduite par Jean-Marc Andreoli,
a été le sujet de nombreuses recherches
internationales
(D. Miller à Philadelphie, M.Winikoff à
Melbourne, par
exemple). Nous avons cherché à étendre
les
résultats d’Andreoli afin de construire un langage
de
programmation en logique non- commutative. Dans NL il y a deux
connecteurs autres que ceux de la logique linéaire, qui sont
non
commutatifs ; de nouvelles règles permettent de lier les
structures commutatives et non-commutatives.
Il existe deux présentations du calcul des
séquents de
NL, l’une utilisant des ordres partiels (en pratique des
ordres
série-parallèles), l’autre des
variétés d’ordre
série-parallèles.
Nous avons choisi les séquents avec ordres partiels
pour étendre la notion
de ”focusing” d’Andreoli. Cette
étude et la
construction théorique du langage ont
été
l’objet de la thèse soutenue par Rémi
Baudot.
Programmation
logique :
Un des problèmes en programmation logique, était
de
trouver une interprétation logique ”utile et
simple” pour les programmes utilisant la négation
par
l’échec : seules des réponses
partielles avaient
jusqu’alors été apportées,
car la version
trivaluée classique (Kunen) ou celle utilisant la logique
linéaire (Cerrito) du complété de
Clark ne permettent d’obtenir la
complétude que pour une classe restreinte de programmes:
les programmes autorisés. En utilisant la logique
trivaluée introduite par Girard en 1973, nous avons
défini, de manière analogue, un
complété
pour lequel nous avons des résultats similaires de
correction et
de complétude. En particulier, cette logique permet de
définir une syntaxe pour la logique utilisée par
Kunen.
En utilisant la version intuitionniste de cette logique, nous avons pu
de plus expliquer certains cas
”d’enlisement”
(floundering). D’autre part,
la logique intuitionniste trivaluée permet de donner une
sémantique pour les programmes avec négation dans
la
tête des clauses, dans l’hypothèse du
monde ouvert.
On a alors des résultats de correction et de
complétude.
Cette recherche a conduit à deux publications [24,
20].
Logique
unifiée :
Le calcul des séquents LU (Logique Unifiée)
introduit par
Jean-Yves Girard, est commun aux logiques classique, intuitionniste et
linéaire. Chacune des précédentes
logiques est un
fragment de LU : la preuve de ce résultat s’appuie
sur un
théorème
d’élimination des coupures. La preuve de ce
théorème est assez complexe en raison de
l’imbrication des trois règles de
coupure (une règle linéaire et deux classiques)
de LU : l’élimination de certaines coupures
classiques
introduit des coupures linéaires, alors que
l’élimination de certaines coupures
linéaires
introduit des coupures
classiques. Ce
résultat
d’élimination des coupures a été démontré sous des
hypothèses
minimales en introduisant une notion de degré qui
dépend
seulement du nombre d’exponentielles de la formule. Ce
résultat
généralise des résultats
antérieurs de la
logique linéaire, et le raffinement concernant les
degrés
donne
de meilleures bornes pour l’élimination des
coupures et
permet de nombreuses applications comme dans le cas des formules non
bien-fondées utilisées dans la
démonstration du
théorème du point fixe [9].
Membre de l’équipe de Logique de Paris 7 (U.R.A. CNRS 753) jusqu’en septembre 1989.
Participation, entre
1973 et 1986, aux recherches du groupe de
théorie de la démonstration de Paris 7,
dirigé par J.-Y. Girard. Les travaux ont essentiellement
concerné
la logique Π1-2.
Dans une série d’articles, dont
certains en
collaboration
avec J.Y. Girard, définition des versions fonctorielles
des hiérarchies de Veblen et de Bachmann
(utilisées
traditionnellement pour attacher des ordinaux à des
théories, ordinaux mesurant en quelque sorte la force de ces
théories) [15, 14 ]. Ces travaux permettent en particulier
d’établir le lien exact entre les notions
”classiques” de théorie de la
démonstration
et la logique [23, 12]. Ensuite, en collaboration avec J.Y. Girard,
application des résultats de la logique à des
problèmes de récursion
généralisée
[13]. Ces travaux font l’objet de la thèse
d’Etat
soutenue à l’Université Paris 7 en
1983.
Dans un article sur la Ω-logique, extension des
résultats d’élimination des coupures et
d’interpolation, à la Ω-logique [11].
[1]. M. Kanovitch, J. Vauzeilles : "Linear Logic in Temporal Planning for Actions with Delayed Effects", Theoretical Computer Science, 'Jean-Yves Girard Festschrift', Vol. 412, Issue 20, pp.2072-2092, 2011.
[2]. Max Kanovitch, J. Vauzeilles : “ Polytime strong planning under uncertainty in domains with numerous but identical elements (a ‘generic‘ approach) ", Theoretical Computer Science, Vol. 379, pp. 84-119, 2007.
[3]. Max Kanovitch, J. Vauzeilles : “The Classical AI Planning Problems in the Mirror of Horn Linear Logic : Semantics, Expressibility, Complexity", Mathematical Structures in Computer Science, Vol 11, pp. 1-28, 2001.
[4]. M. Abrusci, C. Fouqueré, J. Vauzeilles : "Tree Adjoining Grammars in a fragment of the Lambek calculus", Computational Linguistics, Vol 99, n°9, pp.209-236, 1999. (Version longue de l'article des Proceedings LACL'96).
[5]. J. Vauzeilles : "Ordinals II : some applications and a functorial approach". Mathematics and Computer Science, S. Grigorieff & M. Nivat (éd.), Annals of Applied Mathematics and Artificial Intelligence n° 16/1-4, Baltzer, pp. 27-58, 1996.
[6]. M. Ferbus and J. Vauzeilles : "Ordinals I : basic notions". Mathematics and Computer Science, S. Grigorieff & M. Nivat (éd.), Annals of Applied Mathematics and Artificial Intelligence n° 16/1-4, Baltzer, pp. 1-26, 1996.
[7]. C. Fouqueré and J. Vauzeilles : “Inheritance with exceptions: an attempt at formalization with linear connectives in Unified Logic", Advances in Linear Logic, J.-Y. Girard and Y. Lafont and L. Regnier (éd.), pp.167-196, Cambridge University Press, 1995.
[8]. C. Fouqueré and J. Vauzeilles : "Linear logic and exceptions", Journal of Logic and Computation, Vol. 4, n° 6, pp. 859-875, 1994.
[9]. J. Vauzeilles : "Cut Elimination for the Unified Logic", Annals of Pure and Applied Logic, 1993, vol. 62, p. 1-16.
[10]. M. Masseron, C. Tollu, J. Vauzeilles : "Generating Plans in Linear Logic : I. Actions as proofs". Theoretical Computer Science B, vol. 113, juin 1993, p. 349-370.
[11]. J. Vauzeilles : "Cut-elimination and Interpolation for the Ω-logic", Archiv für Mathematische Logik und Grundlagenforschung, Vol.27, 1988, p.161-175.
[12]. J.Vauzeilles : "Functors and ordinal notations IV : The Howard Ordinal and the functor Λ", Journal of Symbolic Logic, 1985, Vol.50, p.331-338.
[13]. J-Y Girard and J. Vauzeilles : "Les premiers récursivement inaccessible et Mahlo et la théorie des dilatateurs". Archiv für Mathematische Logik und Grundlagen-forschung, Vol.24, 1985, p.167-191.
[14]. J-Y Girard and J. Vauzeilles : "Functors and ordinal notations II : a functorial construction of the Bachmann hierarchy", Journal of Symbolic Logic, 1984, Vol. 49, p.1079-1114.
[15]. J-Y Girard and J. Vauzeilles : "Functors and ordinal notations I : a functorial construction of the Veblen hierarchy", Journal of Symbolic Logic, 1984, Vol. 49, p.713-729.
[16]. M. Kanovitch, J. Vauzeilles : “Coping polynomially with numerous but identical elements within planning problems“, CSL'03 & KGC (Computer Science Logic and Kurt Gödel Colloquium), 25-30 août 2003, Vienne, LNCS 2803 pp. 285-298.
[17]. S. Schwer, J. Vauzeilles : "Calendars inside the framework of finite ordinals category", ECAI-98, Workshop on Spatial and Temporal Reasoning, Brighton, UK, 25 août 98.
[18]. M. Abrusci, C. Fouqueré, J. Vauzeilles : "Tree Adjoining Grammars in Noncommutative Linear Logic". Proceedings LACL'96, Nancy, France, septembre 96, LNCS 1328 pp. 96-117.
[19]. C. Fouqueré, J. Vauzeilles : "Taxonomic Linear Theories", ECSQARU 93, pp. 121-128, Grenade, Espagne, Novembre 93.
[20]. J. Vauzeilles : "Negation as Failure and Intuitionistic Three-Valued Logic". Proceedings International Workshop on Fundamentals of Artificial Intelligence Research, FAIR'91. Ph.Jorrand, J. Kelemen (Eds). Lectures Notes In Computer Science, 1991, p. 227-241.
[21]. M. Masseron, C. Tollu, J. Vauzeilles : "Plan Generation and Linear Logic". Proceedings of FST-TCS 10. Lectures Notes In Computer Science, 1990, p. 63-75.
[22]. C. Fouqueré, J. Vauzeilles : "Linear Logic for Taxonomical Networks and Database Updates", Electronic Notes in Theoretical Computer Science, vol.3, 1996, Proceedings of the Workshop on Linear Logic, Tokyo, Japan, March 1996.
[23].J. Vauzeilles : "Functors and ordinal notations III : dilators and gardens". Proceedings of the Herbrand Symposium, Marseille 1981. Stern (Ed), North Holland, 1982, p.333-364.
[24]. M. Masseron, C. Tollu, J. Vauzeilles : "Planification et Logique Linéaire", Revue d'Intelligence Artificielle. Octobre 1992, p. 285-311 (paru également dans les Proceedings 8ième Congrès Reconnaissance des Formes et Intelligence Artificielle, AFCET, 1991, p. 751-762)
[25]. J. Vauzeilles and A. Strauss : "Intuitionistic three-valued logic and logic programming". Theoretical Informatics and Applications, Vol 25, n° 6, 1991, p.557-587
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